Vois-tu comme le flot paisible
Sur le rivage vient mourir !
Vois-tu le volage zéphyrRider,
d’une haleine insensible,
L’onde qu’il aime à parcourir !
Montons sur la barque légère
Que ma main guide sans efforts,
Et de ce golfe solitaire
Rasons timidement les bords.
...
Loin de nous déjà fuit la rive.
Tandis que d’une main craintive
Tu tiens le docile aviron,
Courbé sur la rame bruyante
Au sein de l’onde frémissante
Je trace un rapide sillon.
(tiré d'un poème de Lamartine)
Printemps ?
Il y a 12 ans
2 commentaires:
ah oui la mer! ben nous c'est pas pour tout de suite parce que demain hop retourn au boulot! bouhhh snif!
bisous
merci, merci mille fois pour ces images et ce poeme si bien choisi, je sens l'écume et le vent d'iode me fouetter le visage et ça y est je suis pieds nus à fendre les vagues qui me lèchent , comme c'est beau! merci encore et bisous complices , agnès
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